mercredi 22 mai 2013

Des cakes pour les Geeks !

Mais pas que !
Voici le blog d'amies d'amies qui sont les super héroïnes des pâtisseries, les Wonder Women du Cup Cake, les Jedi du Muffin !
Je n'ai pas goûté, mais j'ai toute confiance en mes amies qui ont les mêmes goûts que moi quand il s'agit de bien manger.
Et ces dames sont des expertes ! Si vous en doutez encore, rendez-vous sans plus tarder en ce moment au Dernier bar avant la fin du monde où elles sévissent.

Et pour vous mettre l'eau à la bouche, voici quelques photos de leurs réalisations, vous constaterez alors que non seulement c'est bon, mais c'est beau !




Foncez sans plus tarder sur leur blog : Paint Cake Bakery.
Pour info, elles seront à la Geekopolis, pour ceux qui iront.

mardi 21 mai 2013

Une nouvelle maison d'édition

Que je m'empresse de vous faire connaître : les éditions Tusitala.

Fraîchement lancée vendredi dernier à Paris, la maison d'édition propose deux premiers livres, atypiques de part leur contenu et leur forme, à découvrir donc pour se changer les idées des trop communs autres romans :


Un roman islandais, l'histoire d'un couple dont le quotidien est perturbé par l'arrivée d'un locataire étranger dans leur appartement et dans leur vie. Cliquez sur l'image et vous en saurez plus !


Un roman américain d'un auteur méconnu, qui signe une sorte d'autoportrait dans une journée-clé initiatique. La préface de Hunter S. Thompson annonce peut-être la couleur de cette décapante histoire !
Pour ceux qui ne connaissent pas Hunter S. Thompson, il est l'auteur de Las Vegas Parano, quelque chose de subversif qu'on lit volontiers ado et à côté de quoi il ne faut pas passer. Pas forcément parce qu'on va passer un bon moment ou parce qu'on va s'y retrouver, mais pour y découvrir quelque chose de nouveau qu'on ne connaît pas, et parce que ça fait du bien de se confronter à autre chose qu'un quotidien déjà vu, au lâcher-prise si revigorant parfois. Surtout qu'avec un livre, on ne risque rien, quoique… Pour info, Las Vegas Parano avait été adapté au cinéma avec dans les rôles principaux Johnny Depp et Benicio del Toro, sous la direction de Terry Gillian.


mardi 14 mai 2013

Lecture : Le Déchronologue


Dans le cadre de la session 4 du Club Sormand, je viens de terminer la lecture de ce roman pour le moins atypique.
Je ne sais trop comment commencer, essayons de faire un bref aperçu de l'histoire.
Henri Villon est un flibustier du XVIIe siècle, voguant sur son bateau dans les mers Caraïbes.
C'est son journal que nous avons entre les mains, qui débute par le dernier chapitre, où il annonce sa fin prochaine. Ce marin d'eaux tumultueuses aura été le témoin, et même l'un des principaux acteurs, du phénomène le plus étrange qui puisse jamais toucher une époque : des tempêtes temporelles, qui déchirent la trame du temps et laisse passer des éléments du passé et du futur, disloquant la trame chronologique. Ceux qui se situent sur le passage de cette déchirure du temps sont perdus bien sûr, percutant de plein fouet l'élément présent à l'autre époque, au même endroit. Le cher vaisseau de ce fameux lutteur "corsaire", du capitàn Villon, le Déchronologue, semble être la seule arme contre ce temps fou furieux qui perd la raison…
Là où ce roman de piraterie SF devient réellement atypique, c'est dans la mise en forme de son histoire, totalement déchronologique ! Nous commençons par la fin, puis le chapitre suivant nous envoie au début, et le chapitre d'après à un autre moment de l'histoire. Aucun chapitre ne se suit dans l'ordre de l'histoire, pour mieux nous dérouter (et là, pour le coup, c'est gagné !) et nous faire ressentir peut-être la torsion temporelle que subit le héros, lui-même perdu dans son temps investi par d'autres, du futur ou du passé. Cela rend la lecture sinon difficile, du moins plus lente, car il est impossible de pouvoir enchaîner les chapitres sans essayer de le resituer par rapport aux chapitres déjà lus, et donc de revenir en arrière. La lecture est donc hachée, subissant à chaque changement de chapitre une tempête temporelle, un mouvement de va-et-vient.
Cela dit, je n'en ressors pas déçue pour autant. Malgré cette lecture déstructurée, j'ai passé un moment agréable, aux côtés d'Henri Villon et de son équipage, dans la tourmente du temps. Au point même de ressentir une réelle attente de connaître la suite de l'histoire, non pas pour en connaître la fin déjà dévoilée au tout début, mais pour avoir les détails de la rencontre avec tels personnages, ou comment cette partie de l'histoire a pu aboutir à telle conclusion.

Ce roman est une littérature expérimentale, elle est totalement originale, atypique, à part, exceptionnelle. Quelle que puisse être notre réaction, énervée face à une lecture si décousue qui nous freine sans cesse, ou bien enchantée de ressentir ainsi le même bouleversement que le héros de l'histoire, au risque d'être un peu perdue dans la tourmente, ce roman est à lire et même à vivre !
Sans être un "coup de cœur", il reste une belle découverte que je suis bien contente d'avoir faite.

mardi 7 mai 2013

Prix Imaginales 2013 : le lauréat du roman francophone


Et je suis bien contente qu'il ait gagné !
* post sans intérêt mais c'est mon blog et je fais ce que je veux… de toute façon, pour le nombre de personnes qui le lit…