vendredi 28 septembre 2012

Sinister : nouveau film d'horreur

En ce moment, rien ne me tente au cinéma.
Le 7 novembre prochain, sort ce film d'horreur américain :


Pourquoi pas ?

jeudi 27 septembre 2012

Un RER gastronomique !

À l'occasion de la fête de la gastronomie qui avait lieu ce week-end, Thierry Marx, membre du jury Top Chef, associé à Badoit, ont offert aux passagers du RER C, entre Neuilly et Bibliothèque François Mitterrand, un dîner digne des plus fins restaurants.


Une seule question : pourquoi on n'y était pas ?
On n'a plus qu'à espérer qu'un truc pareil nous arrive à nous aussi, un jour…

mardi 18 septembre 2012

Lecture : Une belle canaille


Après quelques romans du même auteur, et sur les conseils avisés d'Ys (conseils qui se traduisent en réalité en le placement forcé dudit livre entre mes mains dociles), je viens de terminer ce roman de Wilkie Collins.
Il est un peu différent de ses autres œuvres, voire carrément d'un autre genre. Son ton est plus léger et plus badin, et le thème peut paraître tout à fait immoral puisque le héros est une canaille.
Il est, en vérité, tout à fait délicieux. On lit avec plaisir la vie de Francis Softly, que ce dernier nous raconte, nous la présentant comme digne d'intérêt. La modestie n'est pas du tout à l'honneur chez ce personnage, véritable fripouille qui se joue des uns et des autres pour mieux servir ses desseins. Et ses desseins peuvent se résumer par un seul mot, au début de ce roman : jouir de la vie sans devoir en subir les désagréments, qu'il laisse aux autres, membres de sa famille inclus. Pour autant, il n'est pas un mauvais bougre dans le fond et l'on se prend à lui souhaiter tout le succès de ses nombreuses tentatives pour atteindre le bonheur. Sa rencontre avec une jeune femme de toute beauté scellera la suite de son destin, et nous entraînera dans des péripéties dignes d'un Arsène Lupin, avec tout l'humour qui l'accompagne.
Cette histoire est assez savoureuse, et m'a permise de passer un bon moment en la compagnie de cette belle canaille ! Une belle trouvaille surtout, qui permet de découvrir une autre facette, moins sérieuse mais non moins plaisante, de cet illustre et talentueux William Wilkie Collins. Ce dernier a su adapter avec bonheur son écriture à l'exercice, et nous sourions volontiers aux nombreuses piques bien senties que l'auteur adresse à ses compatriotes de l'époque. Un humour grinçant accompagne ainsi une critique certainement très juste de la société anglaise, que l'on peut rapprocher (et les puristes m'excuseront cette comparaison si elle les choque) au cynisme d'Oscar Wilde.
À lire, pour compléter sa bibliographie de l'auteur.

jeudi 13 septembre 2012

Lecture : Avant d'aller dormir


Après avoir lu une critique sur Babelio, j'ai eu envie de lire ce thriller.
Encore une belle découverte, Babelio est décidément une mine d'or : tout aussi attractif et tout aussi dangereux !

Suite à un accident, Christine est amnésique. Son cas est assez rare : elle se réveille chaque matin, depuis une vingtaine d'années, en ayant tout oublié des jours qui ont précédé. Seuls lui reviennent parfois des bribes de souvenirs, des sensations. C'est ainsi qu'elle se croit parfois être une petite fille, parfois une jeune femme de vingt ans. Mais chaque fois c'est un choc pour elle, elle se réveille dans une maison qu'elle ne connaît pas, dans un lit avec un homme qu'elle ne connaît pas, et qui lui dit chaque jour qu'il est son mari, qu'ils s'aiment et qu'elle est atteint d'amnésie depuis son accident. Elle apprend bientôt qu'elle consulte un médecin, sans que son mari le sache. Et qu'il lui a conseillé d'écrire un journal intime, dans lequel elle écrit chaque jour ce qui lui arrive, ce qu'elle apprend, ce qu'elle est. Alors chaque jour n'est plus tout à fait à recommencer, car le journal l'aide à se souvenir.
Mais un jour ce qu'elle y lit est différent de ce qu'on lui raconte…

C'est un très bon thriller, j'ai eu du mal à le lâcher. Son histoire trotte dans votre tête sans vouloir en sortir. Tant que vous ne l'avez pas fini, il est là, juste derrière vos pensées. Quand vous ne le lisez pas (parce que vous travaillez, vous mangez, ou autre activités triviales), vous échafaudez continuellement des réponses, des solutions, vous essayez de découvrir par vous mêmes la clé de l'histoire.
J'ai beaucoup aimé cette addiction soudaine. J'aime bien ces livres-là qui vous fait lire en vous rongeant les ongles, les yeux exorbités par la surprise et la tension, presque avec les mains plaquées sur le visage comme si vous vous attendiez à lire une chose monstrueuse qui va vous effrayer, mais vous ne pouvez pas vous empêcher de la voir. C'est excitant et c'est du pur divertissement. Tout simplement génial !
Précipitez-vous comme vous le feriez sur un film d'horreur-suspens, un de ces thrillers qui vous font peur un peu pendant, et un peu après aussi, complètement jouissifs. Une monomanie qui s'empare de vous : LIRE pour connaître la suite !
Je ne vous parlerai pas de l'écriture, ni de l'histoire plus que je n'ai fait, c'est un très bon roman pour ma part car il présente une qualité indéfinissable et la meilleure : addiction !

LISEZ-LE !

mardi 11 septembre 2012

samedi 8 septembre 2012

Lecture : La Tour de guet


Vous est-il déjà arrivé de lire un livre qui, lorsque vous n'étiez pas en train de lire, semblait raconter une histoire peu transcendante mais qui, en pleine lecture, devenait une addiction impossible à cesser ?
Et bien c'est ce qu'a produit ce livre sur moi, un sentiment assez déroutant finalement.
Si je dois vous le recommander, il me sera difficile de le faire en n'évoquant que l'histoire. Pourtant, comment vous en donner le goût autrement ?
Je me lance… L'histoire est celle d'un garçon, puis d'un homme, fils d'un petit seigneur sans aucune noblesse, gras et rustre, à l'époque féodale. À 14 ans, il partira servir le baron Mohl au service de qui sont ses frères aînés, et qui lui enseignera l'art de la guerre. Cette histoire conte sa vie, de sa naissance jusqu'à son adoubement en chevalier, véritable combat d'un être d'une extrême laideur physique faisant face à la laideur environnante, des sentiments, des comportements, des coutumes.
Et toute cette laideur tranche magnifiquement avec l'écriture de Ana Maria Matute, un vrai trésor d'enchantement qui vous condamnera à ne plus pouvoir laisser tomber ce livre jusqu'au dernier mot. Et qui fait de ce livre, un très beau conte.
Merci à Ys pour cette découverte, je ne pensais vraiment pas pouvoir le lire, pénétrer ce monde qui me semblait sans vie et sans intérêt. Mais c'était sans compter sur le don de sa conteuse.
Je doute un peu de vous avoir convaincu de le lire, car je suis bien loin d'être aussi douée qu'elle. Il ne me reste qu'à vous inviter chaudement à faire l'expérience de ces quelques 230 pages, savoureuses.
Je termine cela dit sur un bémol, tout du moins je nuance un peu mon enthousiasme, car il me faut être honnête aussi : la première partie est très engageante et on avale les pages en souhaitant connaître la suite de la vie du jeune homme ; la seconde partie est plus la proie d'une écriture qui semble mettre en forme les errances du jeune homme qui, visiblement, sombre dans une lucidité ou une hallucination, et perd parfois tout à fait pied, comme le lecteur. Il faut donc vous attendre à une part d'onirisme frôlant la poésie hermétique mais qui peut également être considérée comme la mise en forme des pensées du jeune homme, doublant le sens du fond par la forme. On peut également simplement se laisser bercer par la musique que l'écriture crée alors, très agréable à lire pour ceux qui apprécie les belles tournures.

vendredi 7 septembre 2012

Totoro en folie…



Une version avengers…


Et un VRAI chatbus ! Trop mignon (ce qu'on peut être con des fois nous, les humains !)

mercredi 5 septembre 2012

lundi 3 septembre 2012