Les Dystopiales auront droit à une deuxième édition, le 10 et 11 février prochain. Cette fois-ci, elles se partageront entre la librairie Charybde et la librairie Scylla, à quelques rues l'une de l'autre.
Le programme, le voici :
Et les petits commentaires qui vont avec :
Vendredi 10 et samedi 11 février prochain grâce Au Diable Vauvert, viendra à la librairie Charybde un jeune et talentueux auteur de SF : Paolo Bacigalupi dont le premier roman La fille automate sera tout juste sorti en France.
Pour la partie Dystopia des Dystopiales, seront à nouveau de la partie Lisa Tuttle et Mélanie Fazi, qui n’avaient pas eu le temps de voir tout le monde comme elles en avaient envie en novembre dernier. Stéphane Perger qui a réalisé la couverture d’Ainsi naissent les fantômes et de tout l’univers graphique de Yirminadingrad les rejoindra pendant ces deux jours avec le renfort de Léo Henry et Jean-Marc Agrati.
La librairie Charybde nous fera également découvrir l'auteur Anne-Sylvie Salzman pour son recueil de nouvelles fantastiques publiés par Le Visage Vert : Lamont. Elle en profitera pour vous parler de quelques-uns de ses coups de cœur de traductrice.
Marc Petit sera aussi présent et signera entre autres Le Nain Géant réédité aux éditions L’arbre Vengeur ainsi que son tout dernier recueil de nouvelles : Le Funambule aux éditions Infimes. Le Nain Géant est un savoureux roman feuilleton qui flirte avec le steampunk dans le Paris de la Commune où un fabriquant d’automates travaille sur un projet qui attire la convoitise de personnes bien peu fréquentables... Une réédition à découvrir absolument.
Jérôme Noirez et Aurélien Police, enfin, dédicaceront en Scylla et en avant-première l’intégrale de Féerie pour les Ténèbres (en deux beaux volumes au Bélial).
Voilà pour la deuxième édition des Dystopiales. Pour la troisième, on vise juin…
Dommage, je ne serai pas là, mais n'hésitez pas à y aller…
lundi 30 janvier 2012
vendredi 27 janvier 2012
Des nouvelles de Jean-Philippe Jaworski
Grande nouvelle ! Jean-Philippe Jaworski sortira une trilogie en 2013 pour le premier volume et en 2014 et 2015 pour les deux suivants chez les Moutons électriques. Mais citons ses propos pour nous mettre l'eau à la bouche :
"Il s’agira d’une trilogie de fantasy protohistorique intitulée Rois du Monde, ayant pour cadre la Celtique du 1er âge du fer (vers la fin du VIIe siècle avant notre ère). Le premier volume, Même pas Mort, sortira chez les Moutons électriques en 2013, et les deux volumes suivants, Chasse royale et La Grande Jument sont prévus pour 2014 et 2015."
De quoi être impatient de lire les premières lignes.
En attendant, voici les liens vers le site elbakin.net et le blog des Moutons électriques pour plus d'info.
Encore un an…
"Il s’agira d’une trilogie de fantasy protohistorique intitulée Rois du Monde, ayant pour cadre la Celtique du 1er âge du fer (vers la fin du VIIe siècle avant notre ère). Le premier volume, Même pas Mort, sortira chez les Moutons électriques en 2013, et les deux volumes suivants, Chasse royale et La Grande Jument sont prévus pour 2014 et 2015."
De quoi être impatient de lire les premières lignes.
En attendant, voici les liens vers le site elbakin.net et le blog des Moutons électriques pour plus d'info.
Encore un an…
jeudi 26 janvier 2012
Lecture : La Maison où je suis mort autrefois
J'ai eu ce livre pour mon anniversaire. Je viens de le finir.
Une jeune femme, mal dans sa peau, au comportement agressif envers sa fille et même envers elle-même, appelle son ex-petit ami et meilleur ami d'enfance en lui demandant un étrange service : elle a retrouvé dans les papiers de son père qui vient de mourir une étrange clef ainsi qu'un plan qui conduit à une maison, elle lui demande de l'accompagner à la découverte de cette demeure dont l'existence lui était jusqu'alors inconnue. Mais plus étrange encore, elle n'a aucun souvenir ni aucune photo d'elle avant ses 5 ans, et cette découverte lui permettrait peut-être de retrouver la mémoire sur son enfance.
Ce livre est un petit bijou. Il est excellent. On y retrouve l'ambiance si particulière à la culture japonaise et que j'affectionne. Surtout, il est impossible de refermer ce livre (ou alors très difficile, c'est le genre de livre qu'on lit en marchant dans les couloirs du métro bondé sans la moindre préoccupation du monde bruyant qui vous entoure et vous bouscule). Il est superbement écrit. Il est ce qu'on attend d'un livre : une parfaite délectation de bout en bout sans accroc, sans défaut à lui trouver, génial !
Mille excuses si ma critique vous paraît trop subjective et peu étayée, mais il est toujours très difficile de faire la critique d'un livre qui ne peut en souffrir aucune !
À lire en priorité (foncez tout de suite dans la première librairie ou bibliothèque la plus proche !) !!!
mercredi 25 janvier 2012
DeathStar : réponse à Ys
Merci à Ys de m'avoir fait découvrir ce blog, décidément de très mauvais goût !
Par ici !
Mais qui fait passer un bon moment de franche rigolade quand même !
Par ici !
Mais qui fait passer un bon moment de franche rigolade quand même !
Ceci explique cela
Je le savais qu'il y avait une explication plausible à tout ça :
Et en même temps on le comprend, quelle personne sensée pourrait le considérer comme un vampire ?
À la rigueur, à une étoile vu qu'il brille…
Et en même temps on le comprend, quelle personne sensée pourrait le considérer comme un vampire ?
À la rigueur, à une étoile vu qu'il brille…
mardi 24 janvier 2012
Lecture : La Huitième couleur
Le Disque-monde, je l'ai découvert et pénétré par le côté. J'ai d'abord lu Le fabuleux Maurice et ses rongeurs savants, puis je me suis consacrée à la série des Ch'tits hommes libres et de Tiphaine Patraque. Ys m'a conseillé de lire et m'a prêté Les Trois Sœurcières, que j'ai adoré.
Je n'avais jamais lu le premier livre qui ouvre cette saga du Disque-monde et c'était intolérable. C'est chose faite désormais.
En comparaison des autres livres cités ci-dessus, La Huitième couleur est quelque peu différent. Je ne peux m'empêcher de lui voir certains défauts, notamment le rythme particulier, pas vraiment lent, mais qui manque de ce tonus que connaissent la série des Tiphaine Patraque et vous empêche de refermer le livre trop longtemps sans en connaître la fin. Il est un peu mou.
Ce qui le sauve est l'incomparable imagination de son auteur qui nous propulse, pauvre lecteur, dans un monde délirant mais totalement logique. J'espérais retrouver le même sens de l'humour qui me fait littéralement pouffer en pleine rame de métro, et certains passages m'ont permis de renouer avec ce petit lutin farceur et enfantin qu'est Terry Pratchett. Il nous présente son monde, un disque plat soutenu par quatre éléphants, eux-mêmes soutenus par une gigantesque tortue qui dérive dans l'univers. Dans ce monde, il existe une huitième couleur à l'arc-en-ciel, qui caractérise la présence de magie, et que les mages utilisent et voient. La Mort, qui est masculin, est un squelette au visage figé qui tente tant bien que mal de faire son travail de faucheuse. Et dans tout cela, un touriste suivi de près par son bagage aux multiples pattes, se lance dans un voyage à la découverte du disque et de toutes ces curiosités, des dragons aux bandits de grand chemin, en passant par les héros, les mages et le bord du monde…
Malgré cette mollesse dont je parlais plus haut, ce livre reste plaisant. Il est, je pense, intéressant de le lire puisqu'il est le premier livre de cette saga, et puis parce qu'il possède l'esprit de son auteur. Et rien que pour ses personnages, Rincevent le mage incapable, Deuxfleurs le touriste ou même et surtout La Mort (que j'affectionne et trouve génial), il est à découvrir, le sourire aux lèvres !
Je n'avais jamais lu le premier livre qui ouvre cette saga du Disque-monde et c'était intolérable. C'est chose faite désormais.
En comparaison des autres livres cités ci-dessus, La Huitième couleur est quelque peu différent. Je ne peux m'empêcher de lui voir certains défauts, notamment le rythme particulier, pas vraiment lent, mais qui manque de ce tonus que connaissent la série des Tiphaine Patraque et vous empêche de refermer le livre trop longtemps sans en connaître la fin. Il est un peu mou.
Ce qui le sauve est l'incomparable imagination de son auteur qui nous propulse, pauvre lecteur, dans un monde délirant mais totalement logique. J'espérais retrouver le même sens de l'humour qui me fait littéralement pouffer en pleine rame de métro, et certains passages m'ont permis de renouer avec ce petit lutin farceur et enfantin qu'est Terry Pratchett. Il nous présente son monde, un disque plat soutenu par quatre éléphants, eux-mêmes soutenus par une gigantesque tortue qui dérive dans l'univers. Dans ce monde, il existe une huitième couleur à l'arc-en-ciel, qui caractérise la présence de magie, et que les mages utilisent et voient. La Mort, qui est masculin, est un squelette au visage figé qui tente tant bien que mal de faire son travail de faucheuse. Et dans tout cela, un touriste suivi de près par son bagage aux multiples pattes, se lance dans un voyage à la découverte du disque et de toutes ces curiosités, des dragons aux bandits de grand chemin, en passant par les héros, les mages et le bord du monde…
Malgré cette mollesse dont je parlais plus haut, ce livre reste plaisant. Il est, je pense, intéressant de le lire puisqu'il est le premier livre de cette saga, et puis parce qu'il possède l'esprit de son auteur. Et rien que pour ses personnages, Rincevent le mage incapable, Deuxfleurs le touriste ou même et surtout La Mort (que j'affectionne et trouve génial), il est à découvrir, le sourire aux lèvres !
jeudi 19 janvier 2012
Le meilleur livre de vampire des cent dernières années
Le 31 mars 2012 aura lieu la World Horror Convention à Salt Lake City, pendant laquelle l'Horreur Writers Association célèbrera la mort de Bram Stoker (créateur de Dracula) en décernant le prix du roman vampirique du centenaire.
Six romans ont été sélectionnés, parus entre 1912 et 2011 :
The Soft Whisper of the Dead, Charles L. Grant (1983)
Salem’s Lot, Stephen King (1975)
I Am Legend, Richard Matheson (1954)
Anno Dracula, Kim Newman (1992)
Interview with the Vampire, Anne Rice (1976)
Hotel Transylvania, Chelsea Quinn Yarbro (1978)
D'après vous, lequel recevra le prix, et auquel vous décerneriez le prix si vous étiez membre du jury ?
Pour plus d'info, voici le blog de l'association.
Six romans ont été sélectionnés, parus entre 1912 et 2011 :
The Soft Whisper of the Dead, Charles L. Grant (1983)
Salem’s Lot, Stephen King (1975)
I Am Legend, Richard Matheson (1954)
Anno Dracula, Kim Newman (1992)
Interview with the Vampire, Anne Rice (1976)
Hotel Transylvania, Chelsea Quinn Yarbro (1978)
D'après vous, lequel recevra le prix, et auquel vous décerneriez le prix si vous étiez membre du jury ?
Pour plus d'info, voici le blog de l'association.
Les fééries du bocage
Le 2 et 3 juin, vous avez rendez-vous à Voulx, en Seine et Marne, pour un festival de féérie. Le mot d'ordre : rassembler, transmettre et s'émerveiller, autour du thème principal du conte de fées.
Je vous entends d'ici : encore ! Oui mais là, y a du très beau monde au rendez-vous et pas seulement des illustrateurs.
Voici la liste :
Artistes présents :
Paul Kidby
John Howe (à confirmer)
Severine Pineaux
Bruno Brucero
Pascal Moguerou
Erlé Ferronnière
Philippe Bouveret
Krystal Camprubi
Godo
Hervé Gourdet
Charline
Jim Colorex
Christophe Duflot
Emilie Etienne
Valerie Frances
Delphine Gache
Pierron le Hobbit
Vincent Joubert
Gwendal Lemercier
Sophie Léta
Martinefa
Laurent Miny
Laurence Peguy
François Plisson
Camille Renversade
Virginie Ropars
David Thierrée
Nicolas le Tutour
Ludovic Blay (Sculpteur)
Auteurs présents :
Pierre Dubois
Stan Nicholls
Aurélie Brunel
Richard Ely
Claudine Glot
Edouard Kloczko
Laurent & Olivier Souillé
Guillaume Van Meerbeeck
Musiciens présents :
Eve McTellenn
Luc Arbogast
Conteurs présents :
Pierre Dubois (Parrain du festival)
Tortequesne
Fridhilde Brigantia
Maxence des oiseaux
Cabinet de curiosités Camille Renversade
Editeurs, sites, fanzines présents :
Editions Oriande
Peuple Féerique
Club Présence d’esprit
L'association Des Bulles Dans La Marne (DBDLM)
Fantasy.fr (à confirmer)
Elbakin
Whithe Lazer Game
Donc, en résumé, ce week-end là, vous serez en Seine et Marne.
Et pour d'autres infos, c'est par ici, et par là.
J'ai hâte !
Libellés :
artisanat,
dédicace,
féérie,
festival,
illustrateur,
imaginaire
mercredi 18 janvier 2012
Snape's room
Une spéciale dédicace pour Ys : voici un bureau inspiré par le Professeur Snape :
Et pour la suite du bureau en détails, c'est par ici.
Vive Snape !
Et pour la suite du bureau en détails, c'est par ici.
Vive Snape !
samedi 7 janvier 2012
Lecture 2011 : Bilan
Cette année fut une année plus livresque que l'an passé, très probablement parce que j'ai pu y consacrer plus de temps. Bon, j'en appelle à votre clémence pour certains qui sont de gros lecteurs, et qui ne verront là qu'une courte liste de livres lus en 365 jours !
Mais l'année qui démarre compte un jour de plus, peut-être cela me vaudra-t-il une liste plus longue… (enfin, on peut toujours rêver). La faute à mon inconditionnel penchant à savourer chaque livre, quitte à relire certaines pages !!!
L'attente est insoutenable, je laisse donc place à ma longue liste, et pour copier Ys, je vais ajouter la note donnée pour chacun dans Babelio (les petits livres à côté, si si ce sont des livres : un livre "je n'ai pas aimé" ; deux livres "j'ai peu aimé" ; trois livres "j'ai aimé" ; quatre livres "j'ai beaucoup aimé" ; cinq livres "j'ai adoré, je l'ai dévoré") :
Mais l'année qui démarre compte un jour de plus, peut-être cela me vaudra-t-il une liste plus longue… (enfin, on peut toujours rêver). La faute à mon inconditionnel penchant à savourer chaque livre, quitte à relire certaines pages !!!
L'attente est insoutenable, je laisse donc place à ma longue liste, et pour copier Ys, je vais ajouter la note donnée pour chacun dans Babelio (les petits livres à côté, si si ce sont des livres : un livre "je n'ai pas aimé" ; deux livres "j'ai peu aimé" ; trois livres "j'ai aimé" ; quatre livres "j'ai beaucoup aimé" ; cinq livres "j'ai adoré, je l'ai dévoré") :
- Les Radley, de Matt Haig
- Le Sang d'Immortalité, de Barbara Hambly
- La Porte : Petit conte sans philosophie, de Karim Berrouka
- Le Cercle littéraire des amateurs d'épluchures de patates, de Mary Ann Shaffer
- Stardust, de Neil Gaiman
- Rue Farfadet, Raphaël Albert
- L'Indésirable, Sarah Waters
- Enquête sur l'existence des fées et des esprits de la nature, Edouard Brasey
- Eleven, Mark Watson
- Le Joueur d'échecs, Stefan Zweig
- Voyage au centre de la terre, Jules Verne
- Fleurs de dragon, Jérôme Noirez
- La Voix, Arnaldur Indridason
- Jamais avant le coucher de soleil, Johanna Sinisalo
- La Triste histoire des frères Grossbart, Jesse Bullington
- La Manoir Hanté de Crec'h ar Vran, et autres histoires fantastiques, François Ducos
- Orgueil et préjugés, Jane Austen
- La bouteille endiablée, Robert Louis Stevenson
- American Gods, Neil Gaiman
- Le diable danse à Bleeding Heart Square, Andrew Taylor
- Bohème, Mathieu Gaborit
- Les enchantements d’Ambremer, Pierre Pevel
- Le bureau des assassinats, Jack London
- Le Mec de la tombe d’à côté, Katarina Mazetti
- Nouvelles chinoises, tome 1, Anonyme
- Wastburg, Cédric Ferrand
- Ainsi naissent les fantômes, Lisa Tuttle
- Debout les morts, Fred Vargas
- Hex Hall 2, Rachel Hawkins
- L’Homme à tête d’horloge, Jack Chaboud
- L’Hiverrier, Terry Pratchett
- Les Morues, Titiou Lecoq
- L’Ange du chaos, Michel Robert
- Le Sang d'Immortalité, de Barbara Hambly
- La Porte : Petit conte sans philosophie, de Karim Berrouka
- Le Cercle littéraire des amateurs d'épluchures de patates, de Mary Ann Shaffer
- Stardust, de Neil Gaiman
- Rue Farfadet, Raphaël Albert
- L'Indésirable, Sarah Waters
- Enquête sur l'existence des fées et des esprits de la nature, Edouard Brasey
- Eleven, Mark Watson
- Le Joueur d'échecs, Stefan Zweig
- Voyage au centre de la terre, Jules Verne
- Fleurs de dragon, Jérôme Noirez
- La Voix, Arnaldur Indridason
- Jamais avant le coucher de soleil, Johanna Sinisalo
- La Triste histoire des frères Grossbart, Jesse Bullington
- La Manoir Hanté de Crec'h ar Vran, et autres histoires fantastiques, François Ducos
- Orgueil et préjugés, Jane Austen
- La bouteille endiablée, Robert Louis Stevenson
- American Gods, Neil Gaiman
- Le diable danse à Bleeding Heart Square, Andrew Taylor
- Bohème, Mathieu Gaborit
- Les enchantements d’Ambremer, Pierre Pevel
- Le bureau des assassinats, Jack London
- Le Mec de la tombe d’à côté, Katarina Mazetti
- Nouvelles chinoises, tome 1, Anonyme
- Wastburg, Cédric Ferrand
- Ainsi naissent les fantômes, Lisa Tuttle
- Debout les morts, Fred Vargas
- Hex Hall 2, Rachel Hawkins
- L’Homme à tête d’horloge, Jack Chaboud
- L’Hiverrier, Terry Pratchett
- Les Morues, Titiou Lecoq
- L’Ange du chaos, Michel Robert
On peut dire que j'ai essayé, autant que possible, de lire des auteurs différents (mis à part Neil Gaiman, dont j'ai lu trois livres en 2011). J'ai également participé à deux reprises à Masse Critique et également à un autre partenariat avec Babelio. Si l'on compte le dernier livre, terminé hier, j'ai lu 35 livres.
Si j'étais couillue, je me lancerai le défi de lire 40 livres cette année… mais je ne suis pas couillue !
Les liens de chaque livre (lorsqu'il y en a) renvoient vers des pages de mon blog (ancien et nouveau) avec la critique du livre en question que j'ai pu faire.
Et vous alors ? Combien de livres avez-vous lu en 2011 et quels sont-ils ?
Avez-vous des livres en commun avec moi ?
Dernière chose : en moyenne j'ai aimé ou beaucoup aimé les livres lus. Très peu de livres "peu aimés". Et quelques livres que j'ai adoré. Je pense avoir été généreuse pour certains dans ma notation, mais comme cette année, c'est la dernière (la fin du monde, rappelez-vous), et bien il est possible que ma notation soit plus sévère !
Encore bonne année !!!
Lecture : L'Ange du chaos
Il s'agit du premier tome du cycle "L'Agent des ombres", de Michel Robert.
Je suis assez partagée sur ce livre. Je ne sais pas si c'est dû au fait qu'il m'a été chaudement conseillé par mon Jules, mais de prime abord, je dirai que ce roman est assez "masculin" (en opposition des lectures de filles que d'autres appellent "chick-lit" je crois) : il enchaîne les actions sans que vous ayez le temps de dire "ouf" et alterne combat et sexe en cherchant un équilibre dans des scènes bien campées teintées de violence. C'est ce qui pourrait justifier à mes yeux le qualificatif de "masculin", bien qu'il soit trop réducteur puisque la majorité des fans qui peuplent les files d'attente de dédicaces de l'auteur dans les différents salons est essentiellement féminine. On pourrait même s'interroger sur ce curieux phénomène, s'attendant plutôt à y trouver plus d'hommes que de femmes.
Je trouve ainsi certaines scènes de sexe gratuites, notamment dans leur caractère outrancier. On comprend aisément qu'elles sont un moyen facile et limpide de camper le caractère d'un des personnages féminin et sa relation avec les autres, mais on aurait peut-être apprécié plus de retenue. Surtout que dans ce premier tome, le personnage en question n'a qu'un rôle assez secondaire (on suppose qu'il en sera tout autre dans les suivants). Cela dit, c'est aussi ce qui apporte ce que je qualifie de "masculin" au livre. Et peut-être ce qui attire une partie de la gente féminine, lassée de lire de trop chaste histoire qui leur sont habituellement destinées.
L'histoire en elle-même ne peut pas être gratifiée d'originale non plus. Le héros est un homme trahi autrefois par ses amis et qui revient dix ans après se venger, profitant d'une mission qu'on lui a confiée.
Cependant, les personnages sont bien croqués, répondant peut-être trop facilement à des types de caractères connus, mais qui finalement fonctionnent assez bien.
Le monde est également suffisamment détaillé sur certains points pour que le lecteur se laisse prendre au jeu et que les pages du livre tournent rapidement. La séparation du monde en trois parties (bien que cette description de ma part soit un peu trop schématique), à savoir la Lumière, les Ténèbres et le Chaos, aiguise la curiosité du lecteur quant aux futures ramifications de l'histoire.
Tout cela fait que je suis partagée sur ce livre. Il est incontestable que je l'ai lu avec plaisir, et que je lirai la suite pour savoir ce que certains personnages deviennent. Mais, pour ce premier tome, il fait parti des livres que je qualifie de "faciles", ne m'étant pas délecter de l'écriture plus que cela, et n'ayant pas vraiment été surprise par les rebondissements de l'histoire.
Un bon divertissement en somme. La suite nous dira si je maintiens ou non cette critique sur les autres tomes.
Bonne nuit en attendant.
mardi 3 janvier 2012
Rock 'n Cthulhu !
Pas mal hein ?
Quand on y joue on est plongé dans une transe cauchemardesque et on voit les Grands Anciens partout.
dimanche 1 janvier 2012
Et plein de bonnes choses !!!
Voici venue l'incontournable billet pour la traditionnelle "Bonne année" !
Je vous souhaite tout plein de bonnes choses, à tous ceux qui liront ce post (je sais d'avance que je peux vous compter sur les doigts de la main, large) et j'en profite même pour trinquer avec vous…
Hein ? Quelque chose vous effraie ? Du sang ? Non, enfin, pas tout à fait. Ce n'est que du True Blood, du sang reconstitué voyons, rien de bien méchant. Et c'est uniquement parce que c'est vous, sinon, croyez-moi, y aurait eu de quoi être effrayé…
Et encore BONNE ANNÉE !
Je vous souhaite tout plein de bonnes choses, à tous ceux qui liront ce post (je sais d'avance que je peux vous compter sur les doigts de la main, large) et j'en profite même pour trinquer avec vous…
Hein ? Quelque chose vous effraie ? Du sang ? Non, enfin, pas tout à fait. Ce n'est que du True Blood, du sang reconstitué voyons, rien de bien méchant. Et c'est uniquement parce que c'est vous, sinon, croyez-moi, y aurait eu de quoi être effrayé…
Et encore BONNE ANNÉE !
Inscription à :
Articles (Atom)